Généalogie dans la Vienne : le guide pour retrouver vos ancêtres

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©️Wikimedia - Claude Villetaneuse

Le département de la Vienne est créé à la Révolution Française, en 1790. Il se compose donc d’une partie de l’ancienne province du Poitou, de l’Anjou (et de la Touraine et la Marche). Le département tire son nom de la rivière, la Vienne, qui le traverse. Il est limitrophes des départements des Deux-Sèvres, de la Charente, de la Haute-Vienne, du Maine-et-Loire, de l'Indre-et-Loire et de l'Indre.

les archives de la Vienne

Les archives de la Vienne en ligne

Le site des archives départementales de la Vienne est relativement riche en termes de contenu. Profitez-en pour y faire vos recherches dans les registres paroissiaux et d’état civil, les recensements, les registres matricules et les archives notariales.

Les actes en ligne

Sur FranceGenWeb : « Actes en vrac » - Les mariages - Les mariages de migrants - Les mariages de migrants originaires de la Vienne - Les notaires - Les protestants

Entraide généalogique dans la Vienne

Les actes insolites

Un tombé du noyer, un tremblement de terre, un bœuf renverse un centenaire et beaucoup d’autres sur le site de J. Marchal.

Témoignages insolites dans les archives de la Vienne

Les migrations dans la Vienne

L’immigration dans le département de la Vienne n’est pas exceptionnel, il est même plutôt faible. Au début du XXe siècle, ce sont surtout des hommes, Espagnols, Suisses ou Italiens qui arriveront à Poitiers pour ensuite travailler dans les communes rurales, dans des métiers agricoles.

La Première Guerre Mondiale est un « prétexte » pour appeler à l’immigration masculine. De nombreux Espagnols et des Portugais répondront à cet appel. Mais le taux d’immigration du département est l’un des plus faibles de la région. On l’explique par le manque d’accueil de la part des élus locaux.

Durant la Seconde Guerre Mondiale, la Vienne accueillera plus de 50 000 réfugiés mosellans, en plus des nombreux réfugiés espagnols internés au camps de la route de Limoges à Poitiers. D’autres réfugiés arriveront de Gironde, de Seine-et-Oise, et de Nantes.

Entermes d’immigration, on retrouve au milieu des années 1900des Espagnols etdes Italiens, un peu moins de Tchécoslovaques et de Belgesettrès peu de Portugais et de Suisses.

A la fin du XXe siècle, le département mettre en place un dispositif d’accueil pour les Indochinois, les Hongrois puis les Harkis dans le camps de la Rye.

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